Vins rosés - Dégustation

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C'est l'été !

Il fait chaud, et beau (plus ou moins) :)
Quoi de mieux qu'une bonne bouteille de rosé pour profiter de l'apéro en bonne compagnie ?

Nous allons déguster plusieurs rosés et nous espérons vous surprendre par la variété des cépages, du Pinot Noir, au Gamay et Gamaret.

Œil-de-Perdrix - Cave des Lauriers


L’origine neuchâteloise de ce Pinot noir légèrement cuvé confère à ce vin rosé son caractère inimitable. Apprécié à 12°C environ de température, il peut être servi avec les entrées, toutes les viandes blanches et les fromages à pâte molle.

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Œil-de-Perdrix - Cave de Goubing

Plein d'allant et de tempérament, ce rosé de pur Pinot Noir a du répondant et le verbe haut. Il est bien étoffé sous sa robe d'un rose radieux et soutenu. Ses arômes de petits fruits rouges, sa présence fringante et rafraîchissante en bouche et sa persistance au palais en font le partenaire idéal de vos repas d'été.

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Domaine de la Recorbe - Rosé de Gamay

Le rosé de Gamay est issu d’un cépage rouge, le Gamay. C’est la vinification qui lui donnera sa couleur rose et ses arômes plus frais que lorsqu’il est vinifié en vin rouge.

Ce rosé est frais et fruité, une légère sucrosité est à noter, ce qui lui amène du corps et de la longueur.

Frais et léger il est le vin idéal des apéritifs d’été. Il accompagnera également à merveille vos viandes grillées.

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Rose Rose - Domaine les Hutins

Rosé de Gamaret avec un nez aux notes de framboises écrasées, puissant.

Début de bouche fine et fruitée, puis devenant plus corsé en milieu de bouche et bien structuré. Tire un peu sur l'épice. Quelques tanins sont présents.

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Un peu d'histoire

Cave des Lauriers

La Cave des Lauriers tire son origine des familles Ruedin, qui depuis 5 générations (1879), exploitent ce Domaine situé au pied du majestueux château de Cressier. En 1949, Arthur Jungo (mari de Denise Ruedin) vient travailler chez son beau-frère, avant de s’associer avec ce dernier, sous le nom de « La Cave des Lauriers Ruedin-Jungo ». En 1976, M. Ruedin se retire et Arthur Jungo associe alors son fils Arsène à l’aventure. L’année 1991 voit Arthur Jungo céder sa place à son petit-fils, Christian Fellmann, ce qui donne naissance à « La Cave Jungo-Fellmann ». En 1995 J.-M. Jungo, fils d’Arsène et cousin de Christian, rejoint lui aussi la cave familiale.

La Cave des Lauriers exploite ses vignes selon les normes écologiques PI. Une norme qui correspond pleinement à une philosophie familiale, dont la devise est de concevoir des vins « Haut de gamme » , respectueux de l’environnement et doublés d’un service clientèle à la hauteur de cette ambition. De nombreuses récompenses, acquises ces dernières années, sont d’ailleurs là pour attester du sérieux du travail réalisé.

Depuis 2016: 0 Herbicides ! Depuis env 2000: 0 Insecticides ! Depuis env. 1990 : 0 Engrais hors Bio !

Cave de Goubing

La Cave de Goubing, située dans la «Cité du Soleil» de Sierre, se trouve en plein cœur du Vignoble Valaisan. La cave fut fondée en 1974 par Michel Jacquod, vigneron-encaveur. Depuis 1999, son fils Oliver, ayant fini ses études de vigneron et d’œnologie, a repris l'exploitation familiale.

Domaine de la Recorbe

Depuis trois générations, la famille Heiniger cultive des vignes et des arbres fruitiers à Eysins, près de Nyon dans le canton de Vaud.

En 1997, à la suite de ses études au Centre d’horticulture et d’agriculture de Lullier, Jean-Daniel reprend l’intégralité du Domaine.

Également formé en viticulture et œnologie à Changins, il vinifie depuis 2005 les 3,5 hectares de vignes.

Le vignoble de 3,5 hectares se situe sur deux communes, Eysins et Coinsins, au cœur de la côte dans la canton de Vaud. Une dizaine de cépages y sont cultivés. Chaque parcelle est unique et le vigneron doit l’exploiter au mieux en prenant en compte la topologie du sol, l’exposition, l’âge de la vigne… 

Le climat du bassin lémanique et les sols aident à l’élevage de vins fruités et souvent puissants avec une belle droiture minérale. 

Les vignes sont enherbées et les entre-lignes désherbés mécaniquement ce qui évite l’emploi de désherbants chimiques. Les racines de la vigne vont ainsi chercher plus profondément leurs ressources dans le sol, s’installent et sont de ce fait moins sensibles aux aléas climatiques et plus résilientes. 

Les ceps sont protégés avec des intrants autorisés en agriculture biologique. La vendange est entièrement manuelle dans le but de préserver la qualité des grappes.

Le Domaine, de petite taille, permet la patience. Les vendanges sont lancées seulement au moment où nous estimons le raisin prêt. Le respect de la maturité est essentiel à l’élaboration de vins de qualité. 

Les vins rouges possèdent du caractère et séduisent par leur élégance. Les vins blancs sont façonnés de manière fruitée, en privilégiant fraîcheur et vitalité.

Passionné, Jean-Daniel, aime se lancer des défis et créer des cuvées inattendues. Son Rouge Nature, élaboré sans sulfite, est par exemple le résultat d’un pari.

Domaine les Hutins

L'histoire du domaine commence à la fin du 19ème siècle avec l’arrière-arrière grand-père d’Émilienne.

C’était alors une entité agricole mixte, comme beaucoup, où viticulture, élevage bovin et culture des champs requièraient à parts égales l’attention et le travail du maître des lieux.

Les fermes de cette époque dont les proportions nous semblent si harmonieuses aujourd’hui sont le fait d’une beauté toute fonctionnelle : on distingue clairement en observant leurs façades, les parties qui étaient dévolues à l’habitation, aux écuries, au pressurage du raisin, ou au stockage du foin et des céréales avant le battage.

On se contentait de peu de cépages: le Chasselas pour le vin blanc, et pour les rouges le Gamay et le Pinot Noir qui font leur apparition dans la région.

Le début des années soixante vit le travail de la vigne s’alléger, d’abord avec les pulvérisateurs tractés par les chevaux, suivis quelques années après par les tracteurs enjambeurs multifonctionnels. Les progrès de l’agrochimie mirent à la disposition des agriculteurs des produits efficaces et séduisants dont on était loin alors d’imaginer les méfaits et les conséquences.

Au milieu de la décennie l’élevage fut abandonné, et les chevaux disparurent des fermes. Seuls subsistèrent à côté des vignes quelques hectares de grandes cultures.

En 1976 le vignoble s’agrandit, atteignant 19 hectares. La récolte était encavée au Domaine et vendue en partie en bouteilles, le reste au négoce.

Cette même année, Pierre Hutin reprit le Domaine de son père, s’associant avec son frère Jean qui de son côté prit en location les vignes de son oncle Jules Hutin.

Quelques années après, une nouvelle cave fut construite pendant que Pierre et Jean entreprenaient un remodelage ambitieux de l’encépagement avec l’introduction des cépages Chardonnay, Pinot Gris, Riesling/Sylvaner (abandonné par la suite), et le Sauvignon qu’ils furent les premiers à adopter en Suisse romande.

Plus récemment ils plantèrent du Pinot Blanc, du Viogner, du Savagnin rose aromatique et tout dernièrement le Savagnin blanc.

La culture et la vinification des cépages rouges déjà présents sur le Domaine fut repensée, le Gamay et le Pinot Noir révélèrent alors des possibilités inexploitées.

Pour diversifier les cépages rouges ils choisirent dès sa «sortie» le Gamaret, création de la Station Fédérale de recherche de Changins, puis le Garanoir, tous deux d’excellents croisements suisses, qui se sont avérés être parfaitement adaptés au terroir. Puis l’opportunité offerte par le réchauffement climatique les a incités à accueillir avec succès le Merlot, le Cabernet-Sauvignon et finalement, la Syrah.

Date et heure
jeudi
9 juin 2022
17:00 19:30 Europe/Zurich
Lieu

Vinea Helvetica Sàrl

Avenue Pictet-de-Rochemont 35
1207 Genève
Suisse
+41782066420
info@vinea-helvetica.ch
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